Cristina rivera garza ezln flag

          As Cristina Rivera Garza recounts in La Castañeda Insane Asylum: Narratives of Pain in Modern Mexico (University of Oklahoma Press, )..

          Cisneros's achievement –as well as Bermúdez, Rivera Garza, Luiselli, and other female writers– is to break with the limitations in the field, pushing urban.

          Cristina Rivera Garza

          Cristina Rivera Garza, née le à Matamoros dans l'État de Tamaulipas, est une historienne et romancièremexicaine.

          Biographie

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          Née en 1964 à Matamoros, au nord-est du Mexique, près de la frontière avec les États-Unis[1],[2], elle parle couramment l'anglais et l'espagnol et désire écrire depuis son adolescence.

          Elle a une formation universitaire en sociologie et en histoire[1]. Elle fait des études de premier cycle à l'ENEP-Acatlán (qui fait partie de l'UNAM, l'université nationale autonome du Mexique) en sociologie, puis étudie l'histoire latino-américaine, toujours à l'UNAM.

          This dissertation would not have been made possible without the amazing work of.

        1. The inmates have taken over the asylum: literally in the case of Cristina Rivera-Garza's thesis on public health in Porfirian Mexico.
        2. As Cristina Rivera Garza recounts in La Castañeda Insane Asylum: Narratives of Pain in Modern Mexico (University of Oklahoma Press, ).
        3. The certainty that the fight for humanity is global.
        4. BLACKWELL COMPANIONS TO HISTORY.
        5. Elle devient ensuite titulaire d'un doctorat en histoire de l'université de Houston[2] obtenu en 1995.

          Elle se consacre ensuite à l'enseignement, ainsi qu'à la création d'une œuvre littéraire « originale et déconcertante »[1],[3].

          Un de ses premiers romans majeurs est Personne ne me verra pleurer (Nadie me verá llorar)[1]